Responsable à la CFDT, Patrice SALSA, DSI :
La CFDT souhaitait sécuriser les comptes de courrier les plus sensibles de son organisation : commission exécutive, responsables de service. En tant que syndicat, le «dialogue social» est la première forme d’action de la CFDT. Il était donc crucial de contrôler et protéger les échanges ayant lieu durant les négociations entre les partenaires du «dialogue social» (gouvernement, ministères, parlement, organismes paritaires, syndicats patronaux, autres syndicats de salariés.) afin d’assurer leur intégrité à tout instant.
En même temps, la gestion des boites de courriel étant rendue complexe par les nombreuses délégations sur celles-ci (assistants politiques, assistants administratifs), la CFDT avait besoin d’une granularité d’analyse et de protection des accès et des configurations extrêmement fine.